C’est souvent au moment d’une succession que se pose la question de la valeur du patrimoine immobilier détenu par le défunt, qu’il s’agisse d’une résidence principale, secondaire ou d’un logement en location. Ce patrimoine est estimé en fonction de sa valeur vénale, c’est-à-dire le prix qui pourrait être retiré de sa vente au moment du décès. Toute mauvaise évaluation du bien peut entraîner un redressement fiscal. Doris Nunez, notaire dans le Vaucluse, décrypte les enjeux de cette phase importante dans la transmission du patrimoine.